L’acharnement politico-judiciaire continue de s’abattre sur nos 5 camarades de Roanne. Le rassemblement national pour les libertés et contre l’inscription au fichier ADN des militants syndicalistes n’a pas permis au gouvernement de comprendre la détermination de la CGT à s’y opposer.
En effet, malgré la décision du tribunal de Roanne après l’audience du 5 décembre qui a relaxé totalement les syndicalistes CGT, le procureur de la République sur injonction du procureur général de Lyon, a fait appel de cette décision le 31 décembre 2013 à 12h10.