Ayant comme seule boussole la protection des intérêts des marchés financiers, le gouvernement macronien n’hésite pas à brutaliser, à répondre par le mépris, la répression, ou la restriction des libertés.
Le grand débat national n’était qu’enfumage, où Macron a fait son one-man-show, refusant obstinément d’entendre la colère qui s’exprime depuis des mois et de satisfaire les revendications.
Les retraité-e-s sont donc appelé-e-s :
à se mobiliser le 11 avril, pour plus de justice sociale, pour avoir les moyens de vivre dignement sa retraite, défendre nos libertés de manifester et exprimer leur solidarité vis-à-vis de leurs enfants et petits-enfants, en condamnant les violences policières,
et à s’opposer à la transformation de nos régimes de retraite par répartition, solidaires et intergénérationnels en régime par points, en exigeant l’annulation du projet Delevoye.
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